POEME 3
POEME 3:
Des chants démoniaques se reflètent dans
ma tête, sans penser au mal introduit au
fond de mon âme.
Impertinents mots, horreurs accablées, nul n'a le pouvoir de m'apaiser.
Rage intérieure qui détruit mon cœur et ne me rend meilleure qu'au moment d'une blanche pâleur.
Seule, déboussolée, atterrée par tous ses rires, qui ne me font pas jouir mais souffrir.
Le bonheur, un mot dont le sens glisse entre mes mains et me rend vilain.
Tout comme autrui, la bise que je te fournis n'égaye pas ta vie.
Enfouie au fond de mon lit, les yeux ouverts, je rêve fort au jour où commencera une nouvelle aire.
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