POEME 2
POEME 2:
Le vide saisissant et prévenant de ton
monde, sans besognes me
dévergonde.
L’oubli, la tristesse de mes nuits, et ce vacarme de bruit, tous, me rendent abrutie.
Si je parlais, jamais les mots ne viendraient.
Préférant me taire, j’endure lentement un interminable moment de souffrance et de silence.
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