POEME 4
POEME 4:
Une, puis deux, puis trois, sans cesse
m'arrêter, je tourne et ne me détourne de
ce goût de chaleur et d'amertume qui
peu à peu me consume.
Triste réalité, renvoi de ton image et toujours le même sentiment d’impuissance et de dégoût face à ce personnage.
Compter, rajouter, enlever, un refrain qui au quotidien ce fait mien.
Puis la goutte tombe et la croix se grave à jamais là, dans ce corps si frêle et si froid.
Implorant chaque instant ton écoute, toi si sourd et qui ne m’entends pas.
Résolue donc au silence de cette étape, seule tu te frappes…
Regard navré et navrant qui ne pourrait faire office d’amant.
Telle est la vie et à chacun ses soucis.
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 25 autres membres